Wahou que le temps passe vite.
Il y a tout juste un an, je lançais ma campagne de financement sur Ulule. Il y a un an, nombre d’entre vous découvraient ma petite marque au doux nom de « My Dear Claude ». Et aujourd’hui, nombre d’entre vous sont encore là, à suivre avec attention mes nouvelles créations pour passer leur 2, 3, ou même 4ème commande. Et rien ne me fait plus plaisir. Retour sur cette année folle de ma vie d’entrepreneur.
J’ai l’impression que c’était hier et pourtant quand je regarde derrière moi le chemin accompli ça me paraît être à deux mille lieux d’ici. Il s’en est passé des choses en un an. Des hauts, des bas, des rencontres, des collab’s, des éternelles remises en questions, des explosions de joie, des déceptions, à base de « je vais tout plaquer » et « je fais le métier de mes rêves » seulement 10 secondes après.
Je parle très souvent de ces montagnes russes de ma vie d’entrepreneur. Je n’ai vraiment pas de meilleure image pour l’illustrer. Je pense que ce lunatisme incessant m’est essentiel pour avancer. Avoir des doutes c’est ce qui fait réfléchir et avancer sans (trop) se planter.
Je parle très peu de mon parcours scolaire : j’ai fait une école d’ingénieur (spécialité mécanique en plus…). Au début je n’aimais pas en parler, parce que ça n’a rien à voir, et que je ne me sentais pas crédible. Et puis j’ai compris que je devais m’en servir comme un atout : une ingé mécanique qui fait dans le col Claudine, c’est tout sauf commun. Les personnes que j’ai eu la chance de croiser sur ma route m’ont fait réaliser que j’avais fait preuve de beaucoup de courage en prenant cette décision :
– « Mais tu te rends pas compte c’est un truc de ouf ce que tu as fait !»
Non, je ne m’en rends pas compte.
Aujourd’hui, à 26 ans, après 5 ans d’école d’ingénieur, j’ai créé ma marque, réalisé une campagne de financement réussie, monté un site (pas toute seule !) qui reçoit plusieurs milliers de visiteurs par mois, j’ai plusieurs centaines de clientes en France et à l’étranger, et en prime des dizaines de rencontres inspirantes. Quand j’écris cette phrase je me rends effectivement compte que c’est quand même « un truc de ouf ».
Si je dois faire le bilan un an après la campagne de financement, My dear Claude c’est :
- Des dizaines de belles rencontres
- Des centaines de petits cols vendus
- Des milliers de personnes qui suivent mes aventures sur Instagram et sur Facebook
- Des tonnes de messages d’amour et de soutien
- 239 allers-retours à la Poste
- 328 bourdes, boulettes, pieds dans le plat de #filledelavraievie (sur 365 jours ça va non ?)
Vous avez peut-être pu le remarquer, cet esprit « fille de la vraie vie » est intrinsèque à la marque. Tout simplement parce que c’est un peu comme ça que je suis. J’adore l’autodérision. Rire des situations gênantes, énervantes ou même un peu tristes, c’est une bonne façon pour moi de relativiser. Fidèle à ma génération ultra connectée, je suis une adepte des réseaux sociaux, mais pour autant je suis très attachée à l’authenticité des moments de la vie en général. C’est pour cela que j’aime partager ces moments de loose mais au combien marrants du quotidien, ces péripéties qui nous arrivent à toutes. La vraie vie quoi.
Je suis sur-excitée en ce moment car j’ai plein de beaux projets en préparation ; je ne peux pas vous en dire plus pour le moment malheureusement, mais c’est de la folie ce qu’il se passe par ici.
Continuez à parler de My dear Claude autour de vous, n’hésitez pas à faire suivre mes newsletters aux personnes de votre entourage, à poster vos photos sur les réseaux, à m’écrire si vous avez des suggestions, où juste envie de papoter.
Je me répète, mais My dear Claude, c’est un peu moi, et beaucoup vous.
Alors Merci <3
Kiss peace love and love et encore du love !
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