Vendredi 31 août, on shootait les nouveaux modèles des cols amovibles, dont la grande nouveauté : le col pointu ! Et comme à chaque shooting, j’aime bien vous faire un petit article de blog « backstage ». En plus, ça me permet de constater l’évolution à chaque nouveau shoot. Parce qu’à chaque fois, j’apprends un peu plus. Ben oui, avec mon passé d’élève ingénieur, je n’ai pas vraiment eu d’occasion d’organiser des shooting mode. Et c’est loin d’être du gâteau.
Vu de l’extérieur, on se dit, et moi la première, qu’il suffit d’un appareil photo (pas trop mauvais, quand même), d’une jolie nana et de 2-3 heures de boulot. Que nenni. Il y a tellement d’autres facteurs qui rentrent en compte, tout un travail de fourmi qui semble passer inaperçu lorsque que l’on voit le résultat final (et c’est tout l’objectif, sans mauvais jeu de mot) mais « qui fait toute la diff » comme disent les jeunes ; ben oui j’ai fêter mes 26 ans le 20 août dernier… un pas vers la trentaine !
Le tout premier shooting, on l’a fait chez mes parents, il y avait : une modèle, un photographe.
Le deuxième shooting, on l’a fait à mon boulot (Atelier Meraki), il y avait : une modèle, un photographe, une MUA (make up artist)
Le troisième shooting, j’ai cherché des lieux un peu plus sympa, on a fait une partie dans le bel appartement d’une amie, et l’autre dans une petite ruelle colorée ; il y avait là encore : une modèle, un photographe, une MUA (make up artist)
Le quatrième shooting, celui-là même dont je vous parle aujourd’hui, j’ai voulu le faire bien, j’ai voulu le faire mieux, surtout pour mon nouveau bébé, le petit col pointu. Je trouvais jusqu’ici qu’il manquait un petit quelque chose, un petit supplément d’âme. J’ai donc envoyé une bouteille à la mer sur instagram (mon compte ici) pour avoir un coup de main pour la direction artistique du shooting, et là, haleluja, Margaux me répond quasi instantanément ! On ne se connaît pas, mais elle suit mon travail via instagram depuis un petit moment.
Pour ce quatrième shooting donc, il y a eu deux semaines de préparation, et il y avait : une modèle, un photgraphe, une MUA et une directrice artistique. Et des marques qui nous ont prêté des jolies pièces. Ouais, on a fait ça bien. Bien bien bien même.
Ce shooting a donc été réalisé en collaboration avec :
La DA : Margaux, elle est wedding planeuse. Comme moi, elle s’est reconverti il y a 3 ans pour se consacrer à un métier qu’elle aime, et a créer sa propre agence : Diamant Brut. Elle organise des mariages haut de gamme, et pour illustrer son travail à ses clients, elle a réalisé des shootings d’inspiration. Autant vous dire que raconter une histoire à travers une mise en scène selon la demande de son interlocuteur, c’est son dada. Elle a su comprendre mes envies, sans même que je ne les ai vraiment cernées moi-même et me guider. Concrètement, elle a réalisé les moodboards (planche d’inspiration avec de jolies images pour illustrer l’ambiance que l’on souhaite), m’a aidé à choisir toutes les tenues, les lieux, s’est occupée de la mise en scène des photos en natures mortes et a déniché notre talentueuse MUA. Rien que ça. >> son site <<
Le photographe : Quentin travaille dans l’audiovisuel. Il est passionné de photographie et réalise des portraits magnifiques, super intense. Il a été sélectionné lors du Nikon Music Festival 2016 pour être reporter photo lors du Festival des Vieilles Charrues, et a ainsi bénéficier d’un coaching photo. Lors de notre shooting, Quentin a su capturer les bonnes expressions, les bonnes poses et trouver le juste milieu entre son style et l’identité de My dear Claude. >> Son site <<

La modèle : Marion travaille dans une agence de pub, et a déjà été contactée par plusieurs marques pour poser pour elles. Elle se prête volontiers au jeu sur son temps libre, et est super enthousiaste à l’idée de pouvoir aider de petites marques comme la mienne ! Elle s’est mise à la boxe il y a quelques mois et elle a déjà gagné ses premiers combats : félicitations à elle ! >> Son insta <<
La MUA : Samantha est une maquilleuse de talent; elle maquille pour des mariages, pour des shootings mode mais aussi pour la télé et le cinéma. C’est Margaux qui a obtenu son contact grâce à une de ses collaboratrice wedding planer, alors nous étions en toute confiance. >> Son book <<
Les marques : Charly James, une jolie marque de bijoux, Cassandra Le Maîstre, une jeune créatrice qui a réalisé une robe sublissime en cuir découpé au laser et Sarah Correia, marque toute douce d’accessoires en mailles.
Je suis donc hyper fière de pouvoir vous montrer les premières photos ; je les adore toutes, mais je crois que celles que j’aime particulièrement c’est celles avec le col pointu noir, et le col pointu blanc <3
Col Claudine pois Lizette, BO Charly James
Col Claudine pois Lizette, BO Charly James
Pour ne rien vous cacher, j’ai eu un petit coup de mou cet été. Beaucoup de remise en question. Mes 26 ans révolus, vivre encore chez papa maman (ben oui, entrepreneuriat oblige…). Mais clôturer l’été en réalisant ce genre de projet, avec des gens incroyables qui ont confiance en votre travail, et avancent avec vous, ça rebooste à 2000%.
Ces photos sont le fruit d’une collaboration où chacun a fourni de son temps et de son talent : je ne sais pas vous, mais moi je les trouve magnifiques. Encore une fois dans cette aventure entrepreneuriale, de très belles rencontres, une expérience enrichissante, bref, des paillettes plein les yeux.
Un immense merci à Margaux, Quentin, Marion, Samantha, Cassandra, Fanny, Sarah et Samia ; j’en profite aussi pour remercier toutes ces personnes qui sont toujours enthousiastes à l’idée de m’aider au quotidien, je vous suis extrêmement reconnaissante, sachez-le.